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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 20:54

Marcel-Cerdan-Fights-Tony-Z

 

Marcel, qui s'était fait remarquer en juin pour avoir essayé d' exploser l'accord sur l'égalité professionnelle hommes-femmes, a essayé au cours d'un nouveau round de le réduire en bouillie en tentant le KO. Largement dominateur, "le Bombardier" Marcel a donné tout son punch face au fameux accord-cadre signé par les organisations syndicales et la Direction des Ressources Humaines du groupe Publicis.

 Objet du combat : le refus obstiné d'un paragraphe concernant les horaires de réunions  (qui désormais ne doivent plus se terminer après 18 h dans les agences du groupe pour ne pas pénaliser les parents devant récupérer leurs enfants.)

"Inutile d'accepter un accord que personne ne va appliquer...", aurait déclaré le bagarreur.
Pour ce nouveau combat  avec la mise en jeu du titre d'agence la plus has been socialement, Marcel a su mettre en avant une condition physique et des qualités de pugnacité hors pair.
"Les salariés sont un adversaire de grande valeur, il a fallu que je me sorte les tripes. Mais nous entrerons  au Panthéon de la gloire", aurait indiqué le boxeur qui est monté en catégorie pour l'affrontement.
Suite au prochain round...

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 21:34

GENE-SHELDON-anniv

C’est la nomination de l’été qui fait beaucoup de bruit dans l’événementiel : Franck Louvrier, ancien conseiller en communication de Nicolas Sarkozy et conseiller régional des pays de la Loire, vient rejoindre l’agence Publicis Events.

Il prendra ses fonctions le 3 septembre, à la tête de la filiale événementielle du groupe Publicis. Sa "mission sera, selon la langue de bois en vigueur, de conseiller les dirigeants d’entreprise dans leur stratégie de communication, en mettant l’événement au service de cette stratégie comme de l’image des marques ". Il s’appuiera dans sa tâche sur Stéphane Lecca, directeur général de Publicis Events, et reportera à Fabrice Fries, qui dirige les activités de MSLGROUP en France et est par ailleurs président de Publicis Consultants.

Le 1er mars 2012, le Nouvel Obs publiait cet article : 

Franck Louvrier, le bouclier médiatique de Sarkozy  

En 15 ans, il est devenu le plus proche collaborateur du président. Un serviteur muet et dévoué. Le Bernardo de Zorro…


Des qu'elle a su se servir d'un téléphone, sa fille lui a laissé un curieux message. "Allô, disait-elle, en tentant de prendre une grosse voix, c'est Nicolas, tu es viré !" Pia, 7 ans, cherchait peut-être à glisser à son père un message subliminal. Le rêve d'une autre vie, sans Sarko. Autant demander la lune à Louvrier.

"Frankie", comme on l'appelait à la mairie de Neuilly, a toujours marché dans l'ombre de son maître. Presque quinze ans de loyauté tout sourire, nuits et week-ends compris. Quinze ans au service du barnum circus Sarkozy. L'increvable conseiller en communication repart en campagne, plus fort que jamais.

"Franck l'évidence"

Il est aujourd'hui le plus ancien, le plus proche, et le plus méconnu des collaborateurs du président. Celui qu'il sonde chaque matin d'un éternel "Ça va, Franck, tout va bien ?" Celui qu'il veut auprès de lui, à chacun de ses déplacements, et pour souffler ses bougies. Celui à qui il confie tout et n'épargne rien. "Franck l'évidence", dit Raymond Soubie. Pour le conseiller élyséen, Camille Pascal, "il est le bouclier médiatique du président, la part non négociable de lui-même".

Il apparaît à moto dans la lumière glacée de la plaine Monceau. Col roulé beige, jean, bonne bouille à fossettes. "Tu verras, c'est un gentil gars, Franck", avaient prévenu les confrères. Poignée de main énergique, conversation fluide autour d'un grand crème. La crise, les Grecs, la campagne en marche, François, Marine, et quelques banalités sur Nicolas... Louvrier louvoie à merveille. C'est son art, c'est sa vie depuis la rencontre avec Sarkozy.

Zorro et son Bernardo

1997 : il était attaché de presse au RPR, diplômé d'une petite école de commerce, déjà vif et malin. "Est-ce que ça vous intéresse de travailler avec moi ?", interrogea le maire de Neuilly. "Oui? Alors on y va." Zorro avait trouvé son Bernardo, le serviteur muet et dévoué, capable de mettre en scène le Sarkoshow. Avec lui, pour lui, Frankie a mis en place une stratégie de communication redoutable : quadrillage du monde médiatique, rappel systématique de tous les journalistes, qu'ils soient reporter au "Monde" ou stagiaire au "Chasseur français", storytelling et déplacements incessants. Neuilly, Bercy, Place Beauvau, l'UMP, l'Elysée... Tant d'années frénétiques à porter la parole du patron.

"Louvrier n'est pas dans le fond des choses", pense Raymond Soubie, "mais c'est un technicien hors pair." Il connaît le système médiatique par cœur. Anticipe ses réactions, ses obsessions. Une armée de petites mains, qu'il tient d'une main de fer, scanne pour lui le Net, les journaux, la télé, la radio. Chaque matin, quand le président l'appelle, le conseiller peut ainsi dire quel sujet monte. Il sait qui, dans chaque rédaction, fait quoi, qui peut être utile, gênant.

Il est sa bouche et son oreille

"Où est Franck ?", s'inquiète toujours Sarkozy lors de ses déplacements. "Sa présence le rassure, observe Brice Hortefeux. Il est sa bouche et son oreille." Des meetings déserts, du temps des vaches maigres aux voyages officiels, avec sirènes et trompettes, de Rungis à Tripoli, Louvrier a toujours été là. Le patron, il le sait, peut vite "partir en live". Au moindre signe de fatigue, Frankie l'éloigne d'une caméra indomptable, d'un journaliste trop curieux. Mieux que personne, il connaît son Sarko. Il l'a vu au sommet, et à terre, notamment quand il lui a montré la une de "Paris Match", avec Cécilia et Richard Attias. "L'un de mes pires souvenirs."

Heureusement, il y a des "journalistes fiables", qu'il récompense par un off, une petite info exclusive. Certains sont devenus ses amis, comme Laurence Ferrari, avec qui lui et sa compagne passent des vacances en Corse [information que la journaliste et Franck Louvrier ont tour à tour démentie. La présentatrice de TF1 a décroché, en exclusivité, l'annonce de la candidature de Sarkozy mais pas de connivence, voudrait faire croire Louvrier : "Je l'ai connue lorsqu'elle était stagiaire à Europe 1."

"Super Menteur", le surnomment les journalistes. Ils ont appris à lire "le Louvrier", à décrypter sa langue de bois, ses pirouettes, ses petits mensonges qu'il peine à masquer sur son visage. Un reste, sans doute, de sa bonne éducation nantaise. "Môman", joyeuse paroissienne et militante RPR, comme papa, qui fut chasseur de têtes et franc-maçon, n'auraient pas aimé cela. Lui, au moins, il ne commente pas le travail des journalistes. Le patron s'en charge, parfois violemment. "Nicolas n'est pas blindé", plaide le fidèle. "Avouez qu'on ne l'a pas épargné."

Carla "l'aime beaucoup"

Il reconnaît quelques erreurs : du Fouquet's au yacht de Bolloré. Et Jean Sarkozy à l'Epad ? "J'avais averti le président, mais parfois, quand cela touche à la vie privée, il n'entend pas." Il en sait quelque chose, lui qui a failli sombrer dans les grandes purges de Cécilia. Privé de palace le soir de la victoire, puis de la cérémonie de passation de pouvoir, le bon soldat ne s'est jamais plaint. Même quand un blondinet d'énarque, David Martinon, a pris sa place à l'Elysée. Personne, ni sa mère ni sa compagne, n'a su ce qu'il endurait. Frankie est une tombe. Promis à un poste de numéro deux chez Endemol, il était prêt à déposer les armes. Le président, aussitôt divorcé, l'a rappelé. Les deux hommes ne sont jamais revenus sur cette période trouble : "A quoi cela servirait ?", demande le pragmatique conseiller.

Il n'a plus à s'en faire. Carla "l'aime beaucoup". Le départ de Claude Guéant, le renvoi des communicants Pierre Charon et Catherine Pégard, l'ont encore rapproché du tout-puissant. Enarques et normaliens n'ont qu'à se courber. Désormais, à l'Elysée, tout passe par Louvrier. Les ministres l'appellent, les conseillers demandent son imprimatur avant de parler à la presse. Régulièrement, Frankie pique un coup de sang : "Fermez votre gueule, vous mettez en danger le président."

La vie sans Nicolas ?

Dans l'anonymat, certains critiquent son manque d'envergure. Le petit gars de Mai-68 (il est né le 30 mai) n'a rien de révolutionnaire. Il n'est ni un idéologue, ni un spin doctor. Il a fait, jadis, les joues barbouillées de confiture, la réclame de "Chifonnette". Il s'émeut aujourd'hui de la "descente aux enfers" de Loana. C'est un enfant de la télé qui s'efforce de tweeter. Un homme de coups. "Il a manqué à Sarko un grand communicant capable de lui tenir tête", murmurent ses détracteurs. Mais l'omniprésident l'aurait-il accepté ?

The show must go on et Franck repart au combat, ses "ELD" (éléments de langage) bien affûtés : "Nicolas n'est jamais meilleur que dans l'adversité." La victoire, dit-il, est au bout du chemin mais lui ne rempilera pas à ce poste-là. "Je vais avoir 44 ans, il est temps de tracer ma propre route." Peut-être dans une chaîne de télévision, ou une agence de com ; Euro RSCG songe déjà à le récupérer. Depuis son élection au conseil régional des Pays de la Loire, Louvrier est soupçonné de vouloir conquérir Nantes ou La Baule. Tout est ouvert mais rien n'est simple. Comment passer de l'ombre à la lumière ? Comment, n'en déplaise à Pia, imaginer la vie sans Nicolas ?


(Article publié dans "le Nouvel Observateur" du 1er mars 2012)

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25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 20:58

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Fin août. Tout a une fin. Ou tout commence. C'est selon. En tout cas, profitez-en pour faire le quizz de la rentrée. Si vous avez une majorité de réponses 2, c'est sûr, il y a de grandes chances que vous puissiez travailler dans le groupe Publicis !  

       Le Quizz de la rentrée. Choisissez votre réponse.

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 20:20

 

La France Telecom fakes sblesniper parodie affiche sarkozy6

France Télécom a été mis en examen, en tant que personne morale. C'est la première fois qu'un groupe du CAC 40 doit répondre d'harcèlement moral.

Le groupe est également mis en examen pour « entrave au fonctionnement du CE et du CHSCT ». Il a été placé sous contrôle judiciaire, avec une caution de 150 000 euros.

L'ex numéro deux de France Télécom, Louis-Pierre Wenes, et l'ancien DRH Olivier Barberot ont aussi été mis en examen pour harcèlement moral. Tout deux ont été placés sous contrôle judiciaire et devront s'acquitter d'une caution de 75 000 euros. Ces mises en examen interviennent après celle de Didier Lombard, l'ancien PDG du groupe, pour le même motif.

Le harcèlement moral au travail est un délit passible d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. Une forme de violence sanctionnée à la fois par le code pénal et le code du travail. Entre 2008 et 2009, 35 salariés s'étaient donné la mort dans le groupe France Télécom. Des suicides intervenant en liaison avec une réorganisation prévoyant notamment la suppression de 22 000 postes.
L'inspection du travail avait mis en cause les méthodes de gestion du personnel, et avait affirmé que le groupe avait « mis en oeuvre des méthodes de gestion du personnel ayant eu pour effet de fragiliser psychologiquement les salariés et de porter atteinte à leur santé physique et mentale. »

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 18:50

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En ce 4 juillet, fête nationale aux USA, Publicis pourrait être contrarié par une information potentiellement négative, relayée tout récemment. L'agence financière Bloomberg nous apprend, en effet, qu'un juge de district américain a autorisé une action collective (class action) de 125 salariées et anciennes salariées de la filiale de relations publiques MSLGroup pour discrimination de rémunérations aux dépens des femmes. Les demandes porteraient sur plus de 100 millions de dollars. Un procès pourrait se tenir en 2014, selon un dirigeant de MSLGroup.

 

 

http://www.moreaboutadvertising.com/2012/07/female-msl-pr-staff-line-up-pay-discrimination-suit-against-publicis-groupe/


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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 21:24

  DG

 

Maurice Lévy, le vaillant président de Publicis critique sans ménagement la politique de François Hollande dans une interview publiée par l'édition dominicale de l'Independent britannique. Mais il ajoute qu'il n'envisage pas de quitter la France "occupée" par les socialistes, contrairement à Martin Sorrell, le patron du groupe WPP, qui avait installé son groupe en Irlande.

 «Hollande va ruiner la France», déclare, tonitruant, le grand patron publicitaire". A propos de la politique économique de François Hollande et de son gouvernement, Maurice Lévy, parlait au festival de la publicité à Cannes : "Les mesures qu'ils proposent ne sont pas bonnes. Pas bonnes pour les affaires, pas bonnes pour la France, pas bonnes pour la création d'emplois."

Mais M.Lévy a aussi déclaré qu'il n'envisageait pas de déplacer le siège de Publicis dans un pays moins taxé, comme l'avait fait Martin Sorrel, le patron du groupe de publicité WPP, qui avait quitté Londres pour l'Irlande en 2008.

Pour notre président "éthique" c'est une question de "morale". Il a ajouté qu'il aurait l'impression de "trahir son pays". L'Independent rappelle que M.Levy a été critiqué, y compris par Hollande pour son salaire et ses primes, qu'il estime avoir mérités.

Pris dans une polémique parce que son conseil d'administration lui a attribué en avril un superbonus de 16 millions d'euros, M. Lévy a précisé qu'il gagnait en moyenne 40% de moins que les patrons de WPP. Mais il a refusé de commenter le fait que, justement, Sorrel se soit vu refuser par ses actionnaires l'attribution d'un "package" du même montant . 

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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 23:08

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100 euros brut, soit un peu moins de 80 euros net, tel est le montant d'une augmentation au mérite* "à la Publicis". Une vraie récompense !

Symbolique, cache-misère ou "c'est déjà ça" ? Découvrons un peu ce qu'on peut faire avec une telle hausse de" pouvoir d'achat" :

  • Aller voir 4 films en amoureux. Sans esquimaux; ni pop-corn...

  • Acheter sa baguette pendant 2 mois et demi.

  • Rouler en Velib pendant deux ans et demi.

  • Laisser sa voiture un peu moins de 3 jours dans un parking Vinci à Paris.

  • Bronzer 4 jours sur un matelas d'une plage privée de la Promenade des Anglais.

  • Acheter environ 10 romans de Marc Lévy ( pas Maurice ) en collection Poche pour son été.

  • Payer à sa Mamie 4 soirs de suite le récital François Feldman à Carqueiranne. La classe.

  • Payer 4 mois son abonnement illimité de téléphone Free.

  • Manger un kebab midi et soir pendant 8 jours.

  • Se payer 8 T-shirts unis chez Uniqlo pour en changer toute la semaine.

  • Monter à 5 adultes en haut de la Tour Eiffel en ascenseur et il restera quelques euros.

  • Faire un plein d'essence 95 sans plomb dans une berline moyenne.

  • Prendre un "Foie gras d’oie des Trois Empereurs, brioche au beurre salé" à la Tour d'Argent.

  • Boire un peu moins de 40 cafés en salle et être très très très très énervé de n'avoir eu que 100 euros.

* moyenne d'une augmentation au mérite chez Publicis en 2011, (et c'est reparti à l'identique en 2012), pour un salarié gagnant de 2000 à 3500 euros brut

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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 22:13

défense

 

Les agences n'ont qu'à bien se tenir. Selon un arrêt rendu le 6 juin par la Cour de cassation, un salarié peut se voir allouer des dommages-intérêts pour avoir subi des agissements de harcèlement moral ainsi qu'une indemnisation spécifique réparant le manquement de l'employeur à son obligation légale de prévenir les actes de harcèlement dans son entreprise.

En 2006, la Cour de cassation a franchi un cap en inscrivant la protection contre le harcèlement moral dans le champ de la sacro-sainte obligation de sécurité de résultat de l'employeur. Ainsi, ce dernier est fautif dès lors que surviennent de tels agissements dans son entreprise, peu important qu'il ait pris les mesures pour les faire cesser ou tenter de les éviter.

Dans un arrêt du 6 juin, la Haute juridiction apporte une nouvelle pierre à l'édifice jurisprudentiel, en admettant qu'un salarié victime puisse cumuler une indemnisation en raison des agissements subis, ainsi qu'une indemnisation pour manquement de l'employeur à son obligation de prévention, tout particulièrement lorsque ce dernier s'est abstenu de toute action corrective alors que des comportements à risque lui avaient été signalés.

L'obligation de protéger les salariés contre le harcèlement moral est une obligation, à double détente, puisque l'employeur est tenu :

-de prendre toutes les dispositions nécessaires en vue de prévenir les agissements de harcèlement. L'employeur manque à cette obligation, par exemple, quand il laisse sans suite un rapport d'audit lui signalant des pratiques managériales brutales au sein de son entreprise;

-de faire en sorte qu'aucun de ses salariés ne subisse des agissements répétés de harcèlement moral.

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22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 20:27

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Vite, il faut réconcilier les Français avec leurs élites !
Prenez Maurice Lévy. Pour avoir touché un petit bonus de 16 millions d'Euros (en plus de ses justes rémunérations), Momo, le roi de la com', est traité comme un patron voleur, lui, lui, le puissant actionnaire des régies publicitaires des médias (Libération, Le M......onde...), le détenteur d'énormes budgets (Orange, Renault, Nestlé, L'Oréal, Carrefour, Sanofi...), lui, le maître de cérémonie de Davos, le conseiller de Nicolas Sarkozy, et surtout, lui, le président de l'AFEP, le lobby des grands patrons ces deux dernières années, le voilà victime d'un odieux lynchage !
Toujours au secours des opprimés, Là-Bas Si J'y Suis a enquêté sur la stigmatisation de celui qui a le courage de dire : "En France, on condamne la réussite".

 

http://www.franceinter.fr/emission-la-bas-si-j-y-suis-maurice-le-vaut-bien

 

Très bien le passage sur les journalistes. " Les journalistes, je vous vois selon mon bon vouloir" ...

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21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 23:53

marcel

Chez Marcel, on semble prendre bien des libertés avec le savoir-vivre ces temps-ci.
Il y aurait même comme un embarras dans la gestion du dialogue social.

Alors qu’un accord sur l’égalité professionnelle hommes-femmes vient d’être signé par les organisations syndicales et la Direction des ressources Humaines du groupe, voila t-y pas que le staff de Marcel se met à pousser un peu beaucoup. Et fait dans le caprice.

Des vrais spécialistes de la maquille les gars !

Récemment, en présentant le fameux accord sur l'égalité professionnelle hommes-femmes en réunion de CE, la fine fleur de Marcel avait juste dynamité un paragraphe important touchant aux horaires de réunions. (paragraphe stipulant qu' elles ne devaient plus, sauf exception, commencer après 18 h). L'accord en question, valable pour tout le groupe, a été approuvé dans toutes les autres agences...

 
Mais s’occuper des mouflets, entre autres, chez Marcel, on n'en a pas grand chose à battre. Alors quand on leur présente un truc qui améliore un tant soit peu le quotidien,  ils correctionnent plus, ils dynamitent, il dispersent, il ventilent...
Y’a pas à dire, mais chez Marcel, les tontons flingueurs ne seraient-ils pas en train de prendre le pas sur les diplomates ?

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