Le nom du repreneur des 70% du capital de France Télévisions Publicité, la régie publicitaire du groupe audiovisuel public, devrait être connu très
prochainement.
Stéphane Courbit, ex-patron d’Endemol allié à Publicis, devrait rafler la mise, mettant un terme à neuf mois de tensions et de convoitises.
Après les désistements successifs de candidats opposés au mode de sélection mis en place et à la surenchère, il ne reste, officiellement, plus que deux prétendants au titre : d’un côté, Stéphane
Courbit et son partenaire de poids, soutenus par le Gouvernement, et de l’autre, le groupe Hi-Média initialement soutenu par France Télévisions.
Courbit et Publicis s’engagent : 15% du capital réservé aux salariés, pas de plan social, 5 millions d’euros ajoutés au capital. L’accent sera par ailleurs mis sur le
développement des synergies avec les régies de Publicis.
Mais Publicis restera minoritaire, afin de faire taire ceux qui verraient là un quelconque conflit d’intérêt entre ses différentes activités. Quant à Stéphane Courbit, proche de Nicolas Sarkozy,
il souhaiterait “profiter des nouvelles règles sur le placement de produits dans les émissions télévisées pour financer ses activités de production audiovisuelle.
Publicis Consultants n'ira jamais rejoindre le site This Ain't No Disco. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'on y trouve la crème des intérieurs d'agences du monde entier. Et dans ce sport, Consultants ne joue pas vraiment dans
une catégorie championne...
Vous pouvez aller y faire un tour pour visionner, peut-être, votre futur lieu de travail.
Les travaux du 1er ne devraient pas tarder à commencer...et qui sait, avec le résultat attendu, l'agence pourra éventuellement concourir (catégorie Sécu ou Services Fiscaux ?).
SBM ? Yeux qui pleurent, nez qui pique, irritations, éternuements... voici quelques uns de ses symptômes.
Ce syndrome semble lié au caractère neuf des bâtiments et peut-être donc aux matériaux, agencements et nouveaux usages ou systèmes les concernant. Il semble avoir apparu dans les locaux de
Suresnes, au 24, et s'est amplifié, cet automne avec le renforcement de l'air pulsé dans les étages.
Le CHSCT parle de plus de 10% de personnes touchées, réponses obtenues à un questionnaire envoyé par mail.
Un rapport de l'Organisation mondiale de la santé estimait que ce syndrome, prenant l'apparence d'épidémies touchait jusqu'à 30% des bâtiments nouvellement construits dans le monde. Le SBM peut
apparaître dans des immeubles conformes à toutes les normes existantes.
Il n'existe pas encore de définition normée ou universelle de ce syndrome. Elle varie selon les pays (par exemple l'Institut universitaire romand de Santé au Travail (l'IST) estime qu'il y a un
problème quant au moins 25 à 30% du personnel déclare des problèmes de type irritatif.
Ce syndrome comporte aussi une dimension socio-psychologique, pouvant générer une anxiété qui en aggrave les effets. La hiérarchie, la médecine du travail ou le propriétaire du bâtiment,
comme les autorités sanitaires, sont souvent gênés pour traiter ce problème souvent d'abord dénoncé par les occupants ou usagers eux-mêmes.
Le diagnostic
Il se fait par exclusion des autres causes potentielles ; généralement sur la base d'un questionnaire soumis au personnel voire aux autres usagers du bâtiment, suivi d'un second questionnaire
plus précis aux personnes se plaignant de symptômes et à celles qui n'en n'ont pas déclaré (pour détecter d'éventuelles causes jusque là non détectées). Cette étape est éventuellement suivie d'
entretiens individualisés avec le cas échéant examen clinique pour les personnes les plus touchés, avec expérimentations de solutions. Des bureaux d'études ou laboratoires spécialisés se
proposent d'accompagner ce type de démarche.
Causes
On considère de plus en plus que le problème est multifactoriel, c'est-à-dire qu'il associe plusieurs causes agissant en synergie. Des fuites dans les VMC et le transport de poussières,
nanoparticules et gaz émises par les véhicules à l'extérieur du bâtiment, d'autres systèmes d'air conditionné ou de chauffage par air pulsé sont souvent citées, ainsi qu'un air trop sec, associé
au dégazage de certaines molécules toxiques par les matériaux de construction (composés organiques volatils, colles).
Des spores de moisissures peuvent localement aggraver le problème, de même qu'une mauvaise ventilation de l'ozone dégagé par certains matériels électriques de bureau (photocopieuses, etc). Les
lampes halogènes émettant des UV peuvent se comporter comme des réacteurs photochimiques, notamment en présence de la fumée de cigarette.
Détection
Pour le médecin du travail et le personnel , la première alerte est souvent donnée par le constat d'une augmentation de l'incidence générale des maladies (augmentation de l'absentéisme ou des
plaintes des employés), avec apparition aggravation ou prolongation de la durée de symptômes chez certaines personnes plus sensibles.
L'autre indice est que dans la plupart des cas, ces symptômes disparaissent rapidement quand les occupants quittent la pièce ou le bâtiment touché. Les malaises peuvent perdurer plus longtemps
chez les personnes sensibles ou plus exposées, avec des effets sanitaires potentiels à long terme ne pouvant être ignorés.
Que fait la direction ?
Pour l'instant, rien. A croire que les symptomes sont inexistants. La médecine du travail, prévenue, est inopérante. Le médecin du 133 ayant été absent.
De qui se moque t-on ?
La loi nº 94-665 du 4 août 1994 relative à l'emploi de la langue française, plus connue sous le nom de loi Toubon,ministre de la culture de l'époque, est une loi française destinée à protéger le patrimoine linguistique français.
Elle vise trois objectifs principaux :
Elle est alors destinée à assurer la primauté de lalangue française en France où elle est menacée par l'extension de l'anglais.
Le stress au travail aurait coûté en France de 1,9 à 3 milliards en 2007, en incluant les "dépenses de soins, celles liées à l'absentéisme, aux cessations d'activité et aux décès prématurés",
d'après une étude.
Selon ses auteurs, "les chiffres réels sont vraisemblablement bien supérieurs", car certains types de stress ou de pathologies n'ont pas été inclus dans l'analyse. L'étude n'a ainsi pris en
compte "qu'un seul facteur de stress, le ”job strain” ou “situation de travail tendue”, définie par la combinaison d'une forte pression subie (taches effectuées à cadences rapides et soumises à
des échéances serrées) et d'une absence d'autonomie dans la réalisation du travail".
Ce "job strain” représente moins d'un tiers des situations de travail fortement stressantes. Faute de données suffisamment établies, d'autres facteurs de stress importants comme le manque de
soutien social ou le manque de reconnaissance n'ont pas été inclus dans l'étude",
De même, "parmi les pathologies liées au stress, les auteurs n'ont retenu que celles qui ont fait l'objet de nombreuses études : les maladies cardiovasculaires (infarctus, maladies
cérébrovasculaires, hypertension), la dépression et certains troubles musculosquelettiques (TMS)", expliquent-ils. "Les maladies immunitaires, allergiques ou encore les désordres hormonaux sont
donc exclus du champ de l'étude" .
L'étude n'a pas pris en compte " toute la dimension du coût pour l'individu, et en particulier la souffrance et la perte de bien-être que le stress occasionne".
Publicis Consultants, qui ne se sent guère intéressé par la question pour ses propres salariés, ne se gêne pas pour donner des conseils comportementaux à ses clients :
"En élevant la communication pour l’emploi au rang d’enjeu Corporate stratégique, Publicis Consultants RH soulève de nouveaux défis Employeurs.
Le pôle RH de Publicis Consultants propose une approche plus sociologique et comportementale aux entreprises. Dans une logique de confrontation
et d’innovation, il permet aux employeurs de communiquer juste vers des salariés de plus en plus demandeurs de preuves et d’exemplarité.
En s’appuyant sur les méthodes rigoureuses du marketing, Publicis Consultants RH souhaite ainsi combattre la langue de bois classique des Ressources Humaines au
profit d’une prise de parole objective et transparente, apportant aux différentes cibles projet à vivre, fierté d’adhésion, crédibilité et
cohérence." *
Peut-on être stressé chez Publicis ?
* extrait du discours PC/RH