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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 20:06
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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 22:26
Conscience professionnelle : une valeur mise à mal.

« Il y a des tire-au-flanc et des gens malhonnêtes, mais, dans leur majorité, ceux qui travaillent s’efforcent de le faire au mieux et donnent pour cela beaucoup d’énergie, de passion et d’investissement personnel », estime le psychiatre Christophe Dejours, professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et fondateur de la psychodynamique du travail. Alors, pourquoi assiste-t-on parfois à une moindre implication dans le travail, à un désengagement, voire à de l’absentéisme ? D’où vient cette crise de la conscience professionnelle, qu’est-ce qui a abîmé la valeur travail ?

« Le manque de reconnaissance fait que l’on perd sa motivation. On met moins d’investissement et donc de conscience professionnelle dans son travail. C’est une spirale infernale. On fait son travail, mais sans supplément d’âme », estime Maëlys Poinsu, chef de projet dans une agence de communication. Faute d’autonomie, de moyens, de reconnaissance, les salariés perdent l’envie de bien faire. Ou de faire tout court. A cause d’un manager défaillant, d’une organisation du travail imparfaite, d’objectifs inatteignables ou contraires à ses propres valeurs, on baisse les bras, on décide de faire le strict minimum. Cela entraîne une perte d’estime de soi, et surtout la disparition du plaisir de travailler.

« Une grande majorité de salariés ont une conscience professionnelle parce qu’elle est un gage d’épanouissement. Mais cette conscience s’étiole lorsqu’il y a perte de sens, perte de direction ou l’absence de retours positifs ....«

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 19:53
Qui applique ce principe ?

A votre avis, quelle est l'entreprise qui applique le mieux ce principe ?

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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 18:30
A quoi reconnait-on un mauvais patron ?

Quand tout va bien, un mauvais chef peut encore arriver à dissimuler ses erreurs, mais en ces temps économiquement difficiles, un mauvais leadership est synonyme d’ennuis.

De prime abord, il s’agit de manquements évidents auxquels chaque responsable remédierait bien volontiers, mais les mauvais chefs sont à peine conscients de leurs médiocres prestations. Pire encore ; les tout mauvais s’attribuent même de bons scores.

Les patrons d'une société de consultance ont mis à nu les points faibles des leaders. Pour leur enquête, ils ont réuni deux études. Ils ont sondé 11.000 leaders et ont cherché des points communs entre les 10% de mauvais managers. Dans la seconde étude, ils ont enquêté auprès de plus de 450 leaders et ont défini les traits de caractère de 31 leaders qui ont été licenciés en 3 ans.

Les 10 plus grands manquements des mauvais patrons

C’est ainsi que les enquêteurs ont trouvé les 10 plus grands manquements des responsables. Chaque mauvais manager a au moins un de ces traits de caractère, souvent, ils en ont plusieurs en même temps.

1. Manque d’énergie et d’enthousiasme
Ils voient les nouvelles initiatives comme une charge et ont peur d’être dépassés. Ou très joliment dit en anglais : ‘they suck all the energy out of any room’ (Ils bouffent toute l’énergie ambiante).

2. Pas de vision claire
Ils croient que leur mission se limite à exécuter des tâches, ils manquent de vision claire ou de direction.

3. Ils font des erreurs d’estimation
Leurs décisions font froncer les sourcils. Leurs collègues ou leurs subordonnées se posent des questions, doutant que les décisions prises soient les meilleures pour l’entreprise.

4. Ils se contentent de prestations moyennes à leur égard
Ils considèrent les objectifs exagérément difficiles à atteindre. Et lorsqu’ils les réalisent tout de même, ils font passer leur prestation pour une performance exceptionnelle. Leur slogan : ne pas trop promettre et délivrer plus.

5. Ils ne travaillent pas bien en équipe
Ils agissent seuls, évitent leurs collègues et voient les autres chefs comme des concurrents.

6. Ils ne s’en tiennent pas aux règles émises par les autres
Les travailleurs leur reprochent un manque d’intégrité. Les standards et les attentes qu’ils infligent aux autres, ils ne les respectent pas eux-mêmes.

7. Ils détestent les nouvelles idées
Ils rejettent les suggestions de leurs collègues, patrons et subordonnés. Résultat : les bonnes idées ne sont pas appliquées. Pas étonnant que cela coûte à l’entreprise.

8. Ils n’apprennent rien de leurs erreurs
Les échecs ne sont pas vus comme des opportunités pour s’améliorer. Au contraire, les mauvais chefs dissimulent leurs erreurs.

9. Ils ne sont pas doués dans les relations sociales
Sans commentaire.

10. Ils ne sont pas en état de piloter les autres
Ils sont focalisés sur eux-mêmes et ne s’intéressent donc pas au développement des autres. Avec toutes les conséquences que cela suppose.

Maintenant, vous savez les reconnaître, ce n'est pas si difficile...

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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 20:18
Open space no !

Les Français n’aiment pas les « open space »

Les uns diront qu’il s’agit d’exigence, les autres l’attribueront à cette propension à râler en permanence. Les Français sont, une fois de plus, champions de l’insatisfaction. Le sujet de leur mécontentement : la taille de leur bureau, le confort de leur fauteuil, le bruit, la lumière, les collègues… En résumé, la qualité de vie au bureau.

Selon le baromètre 2014 de l’observatoire Actineo (réalisé en juin auprès de 2 500 salariés en Allemagne, Suède, Pays-Bas et France), publié mardi 4 novembre, 22 % des Français se plaignent de leur environnement de travail, quand 91 % des Néerlandais et 88 % des Britanniques l’apprécient.

« Le mécontentement vient des open space, ces bureaux ouverts », explique Alain d’Iribarne, responsable du conseil scientifique d’Actineo. À l’origine de la grogne : les nuisances sonores, qui perturbent 52 % des salariés, l’aménagement de l’espace (un problème pour 39 % des Français et 56 % des salariés en open space) et même l’air qu’ils respirent (32 %).

La marque d’une organisation du travail

Les open space, où les pools de dactylos tapaient à la machine sans relâche dans une salle immense sous l’œil d’un contremaître, ont été remis au goût du jour à la fin des années 1970. D’abord aux États-Unis et aux Pays-Bas, puis un peu partout en Europe, plébiscités par les aménageurs de bureaux en mal de mètres carrés.

La France fait pourtant partie des pays où persistent les bureaux individuels : un tiers des actifs en sont équipés quand 3 salariés sur 4 au Royaume-Uni travaillent dans des bureaux collectifs. Les Suédois et les Néerlandais sont allés plus loin encore en supprimant les bureaux attitrés : 21 % et 17 % font du « desk sharing ».

La France affiche un « refus net » des open space, note M. d’Iribane. Mais au-delà du bruit ou de la promiscuité avec les collègues, le scientifique voit dans cette résistance la marque d’une organisation du travail fondée sur l’affrontement où la notion de hiérarchie et de ses attributs (un bureau isolé) reste prégnante.

« Les Français sont attachés aux signes statutaires et les cadres intermédiaires en open space ont un sentiment de déclassement », note M. d’Iribarne.

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26 octobre 2014 7 26 /10 /octobre /2014 19:28

Chez Publicis aussi, la question se pose.

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 08:41
Offre d'emploi.

Si vous connaissez un bon DRH.

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 18:47
La citation que déteste le staff de Publicis Consultants.

Ah oui ?

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 12:56
Dream team.

Une équipe vraiment performante.

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 19:42
Cauchemar.

Un rêve pénible avec sensation d'oppression, d'angoisse ?

Non, même pas, c'est une réalité. C'est Altaaaaaaiiiiiiiiir ! Mis en place dans plusieurs agences du groupe Publicis, le "truc" le plus abject au monde arrive. Comment ensuite s'étonner que ce ne soit pas la "lose" totale !

Bienvenue dans un monde totalement déprimant :

Cauchemar.
Cauchemar.
Cauchemar.
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